Le Beaune 1er cru rouge Les Champs-Pimont est issu
d’une parcelle de 0,90 ha plantée en vieilles sélections massales (environ 50
ans). C’est un terroir de petits cailloutis mêlés à l’argile.
La base de travail est le labour des sols y compris sous le
rang. Les vignes sont conduites de manière à bien répartir la charge des
raisins et ainsi favoriser la maturité et un bon état sanitaire. Pour ce faire,
un certain nombre d’opérations sont menées : taille longue, émondage,
effeuillage et éventuellement vendange en vert si besoin est. Les rendements
des derniers millésimes sont de l’ordre de 40 hl/ha en rouge et un peu plus en
blanc. Les vendanges sont entièrement manuelles. Une table de tri est installée
dans la vigne avant d’amener le raisin au chai tout proche.
Les raisins rouges sont égrappés et maintenus, si besoin, à
température fraîche (15°C) pendant quelques jours avant les fermentations en
levures indigènes. La cuvaison dure de 8 à 10 jours avec juste quelques
pigeages délicats. Les températures ne dépassent pas 30 à 32°C. Les jus de
presse sont réintégrés partiellement suivant les millésimes en fonction de la
dégustation. L’élevage des rouges dure 12 mois sans aucun soutirage. Les
élevages sont réalisés en fûts en provenance de trois tonneliers et neufs à 50%
pour les 1ers crus rouges et 30% pour les givry-villages aussi bien en rouge
qu’en blanc. Les vins sont assemblés en masse plusieurs semaines avant la mise
qui est réalisée entièrement par le domaine. Les blancs sont collés.
Les vins sont sulfités a minima : 20 mg/l de S02 libre à la mise.
Le Beaune 1er cru rouge Les Champs-Pimont est issu
d’une parcelle de 0,90 ha plantée en vieilles sélections massales (environ 50
ans). C’est un terroir de petits cailloutis mêlés à l’argile.
La base de travail est le labour des sols y compris sous le
rang. Les vignes sont conduites de manière à bien répartir la charge des
raisins et ainsi favoriser la maturité et un bon état sanitaire. Pour ce faire,
un certain nombre d’opérations sont menées : taille longue, émondage,
effeuillage et éventuellement vendange en vert si besoin est. Les rendements
des derniers millésimes sont de l’ordre de 40 hl/ha en rouge et un peu plus en
blanc. Les vendanges sont entièrement manuelles. Une table de tri est installée
dans la vigne avant d’amener le raisin au chai tout proche.
Les raisins rouges sont égrappés et maintenus, si besoin, à
température fraîche (15°C) pendant quelques jours avant les fermentations en
levures indigènes. La cuvaison dure de 8 à 10 jours avec juste quelques
pigeages délicats. Les températures ne dépassent pas 30 à 32°C. Les jus de
presse sont réintégrés partiellement suivant les millésimes en fonction de la
dégustation. L’élevage des rouges dure 12 mois sans aucun soutirage. Les
élevages sont réalisés en fûts en provenance de trois tonneliers et neufs à 50%
pour les 1ers crus rouges et 30% pour les givry-villages aussi bien en rouge
qu’en blanc. Les vins sont assemblés en masse plusieurs semaines avant la mise
qui est réalisée entièrement par le domaine. Les blancs sont collés.
Les vins sont sulfités a minima : 20 mg/l de S02 libre à la mise.
Appellation Village de la Côte de Beaune, en Côte-d’Or.
Cette appellation comporte 42 Climats classés en Premier Cru et est reconnue
par l’AOC depuis 1936.
Les rouges représentent 333,41 ha et 66,36 ha de blancs.
- Surface totale : 257,99 ha plantés en rouge 1er cru et 42,21
ha en blanc 1er cru (Chardonnay).
- Rouge : 10648 hectolitres dont 9020 en premier cru.
- Blanc : 2220 hectolitres dont 1484 en premier cru.
Située au cœur du vignoble bourguignon, Beaune est souvent
considérée comme sa capitale incontournable. Riche d’un patrimoine historique
exceptionnel, elle est célèbre pour ses joyaux architecturaux, notamment
l’Hôtel-Dieu du XVe siècle. Sous la ville s’étend un vaste réseau de caves
souterraines, véritable labyrinthe témoin de son héritage viticole.
Le nom Beaune pourrait dériver de Belenos, une divinité
gauloise associée à Apollon par les Romains, indiquant un possible lieu de
culte dédié à ce dieu. Belenos, qui signifie aussi brillant, pourrait également
suggérer une origine liée à un hydronyme évoquant des eaux claires.
Quant au nom "Les Cras", il provient du terme
médiéval « crai », désignant un terrain pierreux.