“Son histoire”
Le phylloxera ont conduit la famille Beaudoin-Joguet-Malécault
à la polyculture dans les années 1900.
En 1957, Charles Joguet reprend la propriété familiale après
le décès de son père. Aidé par sa mère la veuve Joguet-Malécault (dont les initiales
ornent les capsules d’étain : JMV), Charles met en place des vinifications
parcellaires. Il crée les premières cuves inox à pigeage en collaboration avec
Jacques Puisais (célèbre biologiste et œnologue) et la Maison Guérin. Dès cette
époque, il pratique les vendanges manuelles dans des petites caisses ajourées
de 20 kg pour ne pas écraser le raisin.
En 1985, Afin de pérenniser le domaine, il décide de s’associer
à la famille Genet (qui apporte notamment ses terres de Beaumont-en-Véron ainsi
qu’un hectare de vignes sur le coteau de Montplaisir)
En 1997 Charles Joguet qui n’a jamais cessé de peindre et
sculpter (grande formation aux études artistiques à Paris), tire sa révérence
viticole pour se consacrer à son autre passion.
En 2004, après des analyses des terroirs, le domaine décide
de passer en agriculture biologique avec l’arrêt de toute utilisation de pesticide,
augmentation des surfaces foliaires, travail du sol, etc.
En 2006, Jacques et Marie-Françoise Genet (propriétaires),
Kevin Fontaine et Anne-Charlotte Genet mène le domaine, Kevin dans la responsabilité
de la production et Anne-Charlotte pour la commercialisation des vins.
L’encépagement est de 32 hectares en Cabernet Franc pour les
rouges et 2 hectares de Chenin blanc.
A partir de 2016, le domaine est certifié (Ecocert) en
agriculture biologique sur les 35 ha de l’exploitation.
Depuis 2018, le domaine fait ses premiers essais de
traitement à base des plantes.